Un survival paléolithique, une fake true crime story belge, un mystérieux phénomène cosmique gravitationnel, une comédie romantique norvégienne bien déviante, une abominable cité en stop-motion… L’Épisode IV du Grindhouse Paradise avait de quoi mettre en PLS les plus endurci·es des spectateur·ices.
Une comédie noire dystopique où l’enfer ce n’est pas les autres, un slasher gériatrique qui marque le retour du petit prodige du cinéma horrifique indé américain et un found footage hilarant pimpé avec les codes de la culture streaming. Trois trouvailles à grignoter pour une soirée trick or flippe.
Adopter un piaf finlandais démoniaque, participer à une expérience mystique autrichienne, déjouer un complot fomenté par des marionnettes diaboliques, embarquer dans un trip télékinétique à la Nouvelle Orléans ou participer à une orgie zombiesque taïwanaise… Il y avait fort à faire tout au long de cette troisième édition du Grindhouse Paradise.
Une comédie horrifique canadienne tout ce qu’il y a de plus méta, un jeu de massacre japonais tellement culte que son titre est devenu un genre à part entière et un action hero au prise avec une famille de cannibales finlandais. Trois films, trois pépites 100% Grindhouse Paradise compatible pour une soirée Halloween trois étoiles.
Du survival champêtre français à la fresque kafkaïenne espagnole en passant par l’enivrante terreur nocturne canadienne, l’éprouvante épouvante indonésienne, l’animation trash estonienne ou le massacre stylisé d’un néo-giallo uruguayen, tour d’horizon des réjouissances filmiques de cette seconde édition du Grindhouse Paradise.
Pour sa première édition dans la ville rose, le festival Grindhouse Paradise prend ses quartiers dans le plus vieux cinéma du futur : l’American Cosmograph. Le lieu idéal pour célébrer un cinéma différent qui revendique son caractère atypique et subversif, loin des chemins balisés du ciné mainstream.